Héros-Limite #18 / Ciné-club

"Héros-limite" est le ciné-club de La Générale qui a lieu un samedi par mois.

> Accueil à partir de 19h. Début de la séance à 19h45
> Réservation nécessaire (40 places disponibles) à : heros.limite.cine.club@gmail.com
> Participation libre
> Avant et après la projection, bar & petite restauration sur place

>>> IMPORTANT : Entrée réservée aux adhérent⸱es de La Générale. Adhésion instantanée sur place (minimum 1 euro) ou via HelloAsso.

PROGRAMME :

• Groupe Merle Noir (2021), Anton Bialas, 43 min 58 s
• Bird in Italian is Uccello (2021), Gernot Wieland, 14 min 26 s
• Daïnah la Métisse (1932), Jean Grémillon, 50 min 29 s

DÉTAILS :

- "Bird in Italian is Uccello", de Gernot Wieland.
> Lorsqu'il sillonne les routes au milieu du paysage, Gernot Wieland remarque qu'il éprouve le dehors comme une pièce où il ne peut entrer. Se souvenant de son enfance et de la logique d'assignation propre à son milieu d'origine, il poursuit sa méditation en s'intéressant à l'histoire particulière d'un atelier de théâtre destiné aux pensionnaires d'un hôpital psychiatrique nord-italien...

- "Groupe Merle Noir", d'Anton Bialas.
> Au cœur d’un village français en 2020, cinq individus existant sous le nom Groupe Merle Noir errent en silence dans une maison et se préparent à un acte symbolique extrême.

- "Daïnah la Métisse", de Jean Grémillon.
> Daïnah prend plaisir à s'amuser avec les passagers d'un navire de croisière. Engagé comme magicien pour donner des spectacles, Smith, son mari, réprouve l'attitude séductrice de sa femme et finit par la mettre en garde avec agressivité...

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Ci-dessous, dans l'ordre : Bird in Italian is Uccello, Groupe Merle Noir et Daïnah la Métisse

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"Héros-limite" est le ciné-club de La Générale. À chaque nouveau rendez-vous, il propose un double-programme associant de grandes œuvres du 20ᵉ siècle avec des films contemporains.
Le cinéma, le vrai, reste occulté par le système de surproduction audio-visuelle globale.
"Héros-limite" affronte ce maléfice avec désinvolture en provoquant des associations paradoxales.
En jetant le trouble sur les catégories, il reste fidèle à son devoir d’impertinence.
C’est l’esprit d’escalier et les caprices de circonstance qui dictent ses choix, pour autant qu’ils éveillent inspiration et soif de découverte.